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| Bryan C. Adams | |
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Auteur | Message |
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Bryan C. Adams Pornographic Rabbit.
Nombre de messages : 188 Age : 34 • PHRASE PERSO • : "Pour savoir se venger, il faut savoir souffrir." Voltaire Date d'inscription : 26/03/2008
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| Sujet: Bryan C. Adams Mar 11 Nov - 20:00 | |
| Fiche II « Pour savoir se venger, il faut savoir souffir. » Voltaire•|• Identity is not a state of Mind •|•. PRENOM: Byan Clinton. NOM : Adams. AGE : Personne ne le sait vraiment, il doit avoir entre 18 et 22 ans. GROUPE/CLAN : Bryan est le leader du clan BE YOURSELF. LIEU& DATE DE NAISSANCE : Il est ne un 18 janvier a Las Vegas, Nevada.
•|• Do you want to know a Secret •|• VOS SECRETS : - Comme tout le monde le sait, Las Vegas est la ville connu pour avoir les mariages des plus rapides au monde. Ainsi, en une nuit, il vous est possible de vous marier sans preparatifs ... Et Bryan en a fait les frais ! - Il a beaucoup eu recours a l'argent pour se sortir de situations difficiles. Pour lui vous savez, rien n'est trop difficile. - Les autres membres de BE YOURSELF ont, comme qui dirait, un peu peur de Bryan. Derriere le physique de gentil garcon se cache en realite un caractere de diablotin. OBJETS FETICHES : - OH ! Mais que cache-t-il dans sa poche ? Ne serait-ce pas une arme a feu ?... - Vous verrez tres souvent Bryan jouer avec des jetons. Effectivement, il ne se separe quasiment jamais de ses trois jetons porte-bonheur !
•|• One Stupid Question•|• Dans cette partie, il vous suffit tout simplement de repondre aux questions suivantes. A quoi sert-elle ?! A verifier si vous n'etes pas un ordinateur pres a detruire notre forum ...
1) Que faites vous si a votre droite, se trouve l'homme invisible, mais version "hannibal Lecter", a votre gauche, une limace geante qui bavent de l'acide desoxyribonucleique et devant vous une grand-mere, avec sa fameuse main pince-joues, qui s'approche dangereusement de vous ? Je pousse l'homme invisible sur la p'tite vieille. La mamie se fait manger. Je pousse l'homme invisible sur la limace. L'homme invisible se dissout. Et je pars en courant ... C'est bien connu, les limaces n'avancent pas tres vite ! 2) A votre avis, en quel reptile (Serpent, crocodile, iguane, ...) sont faites les bottes de la superbe et magnifique All's Power ?! Connaissant All's Power, ses bottes doivent etre en dragon de Komodo ... 3) Si vous pouviez choisir, vous prefereriez quoi, vous retrouver avec super tomate et sa super cape lors d'une aventure dans jardin land, ou alors vous retrouvez avec Jigsaw dans ... Saw VI ?! Ayant des attirances assez masochistes, je jouerai plutot avec Jigsaw a faire des Hot-dogs ! 4) Pourquoi n'existe-t-il pas de Podopsychiatre ?! Excellente question ! D'apres moi, les pieds aurait besoin d'aide niveau mental ! 5) D'apres Tom Yorke, 2 2= ?! Je dirais ... 5 ! (ANTICAPITALISTE POWAAAAA !)
•|• She is •|•
PRENOM OU PSEUDO : Dave ... AGE : 18 ans COMMENT AVEZ-VOUS DECOUVERT LE FORUM ? : Je suis dessus depuis le debut ! UN DOUBLE-COMPTE ? : Oui ... entre autres ! ACTEUR SUR L'AVATAR : ADAM BRODY <3 EXEMPLE DE RP : Je suis oblige de le mettre en deux fois v__v
- Spoiler:
Quand L est morte, le sol et les murs et les grandes baies vitrées de l’immeuble tremblaient sous les frimas de décembre ; des tourbillons sifflants se frayaient de force des passages entre les gratte-ciels, les ébranlant tout entiers de leurs flocons, et on pouvait suivre chaque rafale par les secousses qu’elles produisaient sur les grands buildings, qui ondulaient quelques secondes dans l’air épais avant d’être pris par les bourrasques suivantes. X avait laissé une fenêtre ouverte qui claquait sans fin et par laquelle s’engouffraient de façon intermittente des coulées glacées d’une neige dure, figée dans sa froideur, et qui ne voulait cependant pas fondre dans l’appartement surchauffé. Le courant d’air ainsi créé faisait vibrer la porte d’entrée sur ses gonds, et les assiettes entassées dans l’évier depuis des mois en un édifice branlant, qui semblait devoir s’effondrer à chaque instant, et pourtant tenait toujours debout en une sorte de triste miracle. X était assis sur le sol, dos à un canapé rouge sombre, dont le contact de velours ne l’avait plus réchauffé depuis le début de la maladie de L. Il avait ainsi passé les trois longs mois qu’avait durés l’agonie silencieuse de L entre cette position et des visites sans but à l’hôpital où, chaque jour, une hôtesse différente, armée du même sourire fixe, lui avait expliqué que, de la volonté de L, sa présence n’était pas souhaitée. Et chaque jour, il avait nourri l’espoir naïf qu’elle aurait changé d’avis durant la nuit.
Il s’imaginait la voir, couverte de tuyaux lui sortant de la bouche, du nez, des oreilles, s’engouffrant sous sa peau comme autant de serpents diffusant leur venin, dont le seul effet notable était de retarder sa mort et entamer sa lucidité. Cette lucidité défaillante, qui l’empêchait, lui, de la voir. Alors, au début, il avait insulté les hôtesses, plusieurs fois. On lui avait répondu par des sourires bienveillants. Il était parti dans des discours sur la mort digne et les droits de l’homme. On l’avait reconduit à la porte en lui demandant de parler moins fort pour ne pas troubler le repos des malades. Dehors, sous les averses toujours battantes – de pluie, grêle, neige et tout ce dont le ciel lourd avait envie de se décharger, il s’asseyait sur un banc, dos à l’hôpital, sous les regards inquiets des passants qui voyaient d’un mauvais œil cet homme trempé des pieds à la tête, un parapluie sans toile au-dessus du crâne, la figure dégoulinante du déluge.
Il avait tout de suite su que L était morte ce jour-là, car le vent s’était mis à chanter en latin. Des chants lugubres, cantiques d’Eglise d’un autre temps. Grégoriens. Comme pour le punir de son athéisme et de n’avoir même pas prié Dieu une seule fois pour l’âme de L, même au cas où…
Il en était là, dans sa cathédrale glacée, fixé dans son immobilité lorsque le téléphone sonna. L’objet vibra en clignotant de toutes les couleurs sur la petite table sombre, à l’unisson des tremblements de l’immeuble, frigorifié par les assauts de l’hiver. Comme une boule multicolore accrochée à un vieux sapin croulant un jour de grand vent. X se demanda si c’était l’hôpital qui appelait, et si c’était le cas, quel empressement ils avaient, là-bas, à le contacter après l’avoir congédié tous les jours pendant trois mois. Il laissa donc sonner jusqu’au répondeur. Mais n’eut aucun message. Il passa la nuit étendu sur le sol du salon, à penser aux jours heureux et à ne plus s’en rappeler. Tout ce temps lui paraissait si loin. Il ne se rendit même pas compte que le jour s’était levé, car il faisait toujours aussi sombre, au dehors, à la lumière des réverbères, seuls à percer de faibles halos un ciel saturé de neige. Et le vent entonnait toujours les mêmes cantiques. Il ferma la fenêtre.
Vers 7h32 du matin, le téléphone sonna à nouveau. X. l’attrapa et le fourra entre les coussins du canapé car les clignotements l’indisposaient. N’avait-on rien d’autre à faire que le persécuter ? Le répit lui était interdit, assurément. Il ne se rappelait pas précisément du jour où tout avait glissé, car ça n’avait pas toujours été comme ça, lui semblait-il. Mais en était-il seulement certain ? Ses pensées semblaient se croiser et s’emmêler en nœuds impossibles, et il doutait à présent de la réalité de chaque chose, avec l’impression désagréable de vivre une vie de paillasson. Afin de chasser ses idées noires, il entreprit de nettoyer la salle de bains avant de se rendre à l’hôpital, où on lui confirmerait sans doute le décès de L. Il pourrait ainsi se renseigner des modalités de l’enterrement.
Le téléphone sonna à nouveau à 10h27 et à 12h44. Au dehors, il neigeait toujours. X. sortit vers 14h pour se rendre à l’hôpital, muni de son parapluie sans toile, qui avait l’avantage de n’offrir aucune prise au vent, et d’un gros manteau d’hiver bordé de fourrure.
Une nouvelle hôtesse, dont il ne connaissait que le sourire, l’accueillit mais refusa de lui donner des renseignements tant qu’il ne lui aurait pas présenté sa carte d’identité. Ce qu’il fit. Elle farfouilla dans son tiroir, vérifia l’identité de X. et lui répondit qu’il faisait partie de la « liste noire », et que, par conséquent, elle n’était pas autorisée à lui fournir d’informations sur la patiente dénommée L. Il s’emporta. Elle lui sourit à nouveau en lui montrant la sortie.
A son retour, X. entendit le téléphone sonner depuis le couloir alors qu’il s’empressait d’ouvrir la porte de son appartement, tout trempé de son aller-retour sous la neige. La serrure bloqua et il était trop tard quand il voulut répondre. Il avait quatre appels en absence. L’idée soudaine que peut-être, on cherchait à le joindre pour lui donner des informations sur L effleura sa conscience et il s’en voulut d’avoir ainsi refusé de répondre jusqu’à présent. Il entreprit donc d’attendre le prochain coup de fil, puisque cela semblait être le seul moyen d’en savoir plus sur la mort de L. Il fourra le téléphone dans sa poche et commença à ranger sa chambre, que quatre mois sans rangement avaient changée en capharnaüm. Ca lui prit tout l’après-midi et une partie de la soirée. Il conserva toutes les affaires de L dans un placard, qu’il entassa avec soin, et classa toutes les photos dans une vieille boîte à chaussure avec un peu de naphtaline. Satisfait du résultat, il préféra dormir sur le canapé plutôt que de froisser les draps propres. Le téléphone dans une main, une photo de L dans l’autre. Une photo avec un sourire du temps où ses longs cheveux blonds bouclés n’étaient pas encore tombés. Et son regard bleu éclatant.
Le téléphone ne sonna pas cette nuit-là, ni le matin suivant. X s’attaqua à son bureau, avant de se rendre à l’hôpital, avec une fausse moustache, où une nouvelle hôtesse, dotée du sourire de sa collègue de la veille et de l’avant-veille et des jours précédents, lui signifia son regret de ne pouvoir accéder à sa requête. Il rétorqua que c’était pressé et que, peut-être, l’enterrement aurait lieu dans la journée. L’hôtesse lui sourit en lui indiquant la sortie. Il se décida donc à chercher par ses propres moyens des informations, puisqu’à l’évidence, il n’en obtiendrait plus de l’hôpital. Il marcha jusqu’à l’église la plus proche. Un grand édifice baroque qui avait des allures de carton-pâte ; une dizaines de flèches néo-gothiques en fausse pierre perçant le ciel qui lâchait toujours, par intermittence, bourrasques et gros flocons cotonneux. Une demi-douzaine de mendiants s’étaient réunis autour d’un feu de fortune sur le parvis et chantaient, bonnet troué sur le crâne, des airs gitans en espagnol. La rue était déserte et les pas de X s’enfonçaient dans la neige, tandis que le vent psalmodiait toujours son latin, mêlé des voix espagnoles et du carillon sinistre de l’église, qui se mit bientôt à sonner un Te Deum funèbre. X s’arrêta quelques instants dans le chambranle de la grande porte en bois, apostrophant un des mendiants, à l’écart, en manteau noir et qui sentait le déodorant pour toilettes. L’homme lui répondit en espagnol un baragouin si obscur que X le remercia sans avoir compris un traître mot sorti de cette bouche édentée aux relents de citron-vert synthétique. Après quoi X s’engouffra dans l’église, dont les trente mètres de hauteur silencieuse ne tardèrent pas lui courber le dos et lui affaisser les épaules. Atlas moderne, portant tout le poids divin, il prit la queue qui serpentait sur des dizaines de mètres, entre les rangées et parmi les travées du saint lieu, jusqu’au confessionnal, en un motif complexe, et vaguement cabalistique, composée de petits vieux – munis de cannes pour la plupart – dont les épaules touchaient presque le sol, après des vies entières de labeur et de prières sans réponses. Chacun d’eux bougeait les lèvres sans qu’aucun son n’en sorte, roulait son chapelet dans ses mains osseuses et les chocs des perles restaient atones. Au dehors, la neige toujours, et les cantiques latins et les chants espagnols des mendiants. X passa l’après-midi entière dans l’église, rageant de la lenteur avec laquelle l’armée de demi-mourants allaient confesser les péchés de toute une vie. Il observa l’étrange manège et la métamorphose des pieux, qui ressortaient du confessionnal aussi alertes qu’ils étaient rentrés décrépis.
& UN CODE POUR LA ROUTE : - Spoiler:
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Dernière édition par Bryan C. Adams le Lun 29 Déc - 2:08, édité 1 fois | |
| | | Caithlyn L Sawyer
Nombre de messages : 341 Age : 33 • ÂGE DU PERSO • : 20 ans • TOPICS ? • : Open_* • PHRASE PERSO • : Le silence est une arme. Date d'inscription : 03/07/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mar 11 Nov - 20:26 | |
| Where is Bryan ? Bryan is in the kitchen !
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| | | Alexander Hellwood
Nombre de messages : 2894 Age : 32 • ÂGE DU PERSO • : 21 ans • TOPICS ? • : Hmm, laisse moi réfléchir. Bien sur =D • PHRASE PERSO • : Chaque détail prend de la valeur quand plus rien n'a de sens. Date d'inscription : 18/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mar 11 Nov - 20:32 | |
| Dave hahahahahaha
Pourquoi faut toujours qu'on soit ennemi nous deux?
Bienvenu pour la Xieme fois je t'aimeje t'aimeje t'aimeMamouuuuuurrrrr
Dernière édition par Alexander Hellwood le Mar 11 Nov - 20:34, édité 1 fois | |
| | | October K. Davis
Nombre de messages : 294 Age : 32 • ÂGE DU PERSO • : 19 ans • TOPICS ? • : A voir par mp ou dans le sujet prévu pour :p • PHRASE PERSO • : Le bonheur de demain n'existe pas. Le bonheur, c'est tout de suite ou jamais. Date d'inscription : 14/04/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mar 11 Nov - 20:33 | |
| Re-bienvenue donc =)
Oh excellent, j'adore Gad! | |
| | | Bryan C. Adams Pornographic Rabbit.
Nombre de messages : 188 Age : 34 • PHRASE PERSO • : "Pour savoir se venger, il faut savoir souffrir." Voltaire Date d'inscription : 26/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mar 11 Nov - 20:35 | |
| Caithlyn : Alalalalallala .... Ma pauvre Caitlyn .. J'ai rigole v__v xD Mamour : Je t'aime aussi ! Tu sais pas pourquoi on est toujours ennemie ?! C'est parce que tu as une tete de singe October : Merci ! ^^ suite de l'exemple de RP : - Spoiler:
Lorsque ce fut son tour, X demanda simplement au curé le programme des enterrements de la semaine à venir sur toute la ville. Ce qui ne manqua pas d’étonner son interlocuteur, qui lui fournit tout de même un petit registre rouge en lui demandant de lui rapporter après consultation, et ne manqua pas de l’avertir que rien n’était fixe et que le planning pouvait changer rapidement. Surtout lors des grands froids et des fortes chaleurs. X s’assit sur un banc près de l’autel, et plongea dans le registre à la recherche du nom de L sans pouvoir l’y trouver. Derrière lui, quelques vieux ne purent s’empêcher de verser une larme à la vue d’un homme si jeune et si pieu qui semblait étudier un missel avec autant de ferveur. X rapporta le registre et remercia le prêtre qui écoutait les perversions d’une petite grand-mère au sourire angélique. Le curé lui demanda si il souhaitait se confesser, lui aussi, tant qu’ils y étaient. X déclina poliment la proposition. Au sortir de l’église, les mendiants chantaient toujours, pour essayer de couvrir les cantiques du vent sans doute, et le Te Deum qui les accompagnaient.
Lorsque X rentra chez lui ce soir-là, il commençait à perdre espoir. Le téléphone n’avait pas sonné, et il neigeait toujours. Les arbres tanguaient à l’unisson des immeubles au rythme d’un vent monotone qui chantaient toujours ses psaumes. Il décida de se rendre à la mairie le lendemain et nettoya la cuisine, en attendant. Il s’endormit à nouveau sur le canapé, avec le téléphone et une photo supplémentaire de L. car il lui sembla qu’il oubliait petit à petit son visage, malgré la hargne qu’il mettait à s’en souvenir.
Il fut réveillé en pleine nuit, par les sirènes des pompiers qui vinrent se mêler aux psaumes en latin et aux chants espagnols et au carillon du clocher. Une partie de la ville était en flamme et les camions au dehors hurlaient et leurs gyrophares décoraient les nuages d’un rouge vif. X se brossa les dents, enfila des chaussons et sa robe de chambre et attrapa son parapluie sans toile, le téléphone et les deux photos de L. puis se rua hors de l’immeuble pour voir ce qui se passait au dehors. Les rues grouillaient de pompiers qui couraient en tous sens avec leurs lances à eau, entremêlées comme des nœuds de serpents bien rouges. Affolés, ils tentaient de contenir les flammes qui jaillissaient de toutes parts et que ni la neige, ni le vent ne parvenaient à éteindre. Mais les canalisations étaient gelées et les rares lances qui fonctionnaient projetaient une poudre qui se changeait aussitôt en glace dans l’air avant de retomber en pointes dangereuses, harponnant les imprudents qui se trouvaient au-dessous. Les feux tricolores clignotaient à tous les coins de rue et de nombreux véhicules étaient accidentés dans des carambolages de voitures rouges paniquées. Certains pompiers commençaient à se battre. X en apostropha un qui criait à ses compagnons « A la mairie ! A la mairie ! », traînant sa lance incendie et son casque à l’envers sur son crâne chauve, à grandes enjambées dans la neige. X lui demanda d’où était parti l’incendie et s’il fallait fuir la ville. L’homme, qui semblait être un responsable, lui répondit que ça avait commencé à la mairie et qu’elle n’était bientôt plus qu’un tas de cendres, puis que c’était le stade attenant qui avait pris feu, et tout le quartier et le théâtre et même la piscine gelée, et que désormais, plus des trois-quarts de la ville brûlaient, mais qu’il pouvait se rassurer et rentrer chez lui car ils avaient la situation bien en mains. X lui demanda si les registres des enterrements à la mairie avaient été touchés, photo de L à l’appui, et le pompier lui répondit qu’il n’avait pas le temps, mais que s’il voyait la mairie de ses propres yeux, il n’aurait pas posé cette question, car tout avait brûlé. Et il ajouta, que c’était d’ailleurs ce qu’il venait de lui dire. X évita de justesse un homme qui venait de se jeter du haut de son immeuble, en proie aux flammes, et remercia le pompier une nouvelle fois, avant de remonter dans son appartement, avec la figure des mauvais jours, car il lui restait à présent peu d’espoir de pouvoir assister à l’enterrement de L. Il s’endormit comme une souche jusqu’à midi, dormant d’un sommeil noir que seuls les hommes sans espoir connaissent. Un sommeil qui avait un avant-goût de repos éternel.
Ce furent des rires d’enfants, couvrant la mélodie latine du vent, et les chants espagnols, et le carillon de l’église baroque et les sirènes, qui le tirèrent d’un rêve étrange : il naviguait sur une mer d’huile dans une embarcation de fortune, qui ressemblait fortement à un cercueil. A sa suite, attachée par une corde, un autre cercueil tirait une femme sans visage aussi froide qu’un glaçon. Rêve qu’il se refusa à interpréter. Il ouvrit les rideaux et le spectacle qui s’offrit à ses yeux lui percuta la rétine si fort qu’il tituba sous le choc. Des landes de terres cendreuses avaient remplacé la ville, une plaine sans fin courant jusqu’à l’horizon flou, parsemée de débris fumants et de braises incandescentes, de poutres charbonneuses et de tâches neigeuses éparses, et au dessus de tout ça, flottait une forte odeur de fumée et de cochon grillé. Un désert noir et gris sous les assauts du vent qui battaient toujours la région changée en steppe apocalyptique. Seul trônait son immeuble au milieu, érigé en tour de Babel de fin des temps. Et les rires d’une dizaine d’enfants en train de faire une bataille de boules de neige grisâtres, emmitouflés dans des manteaux de fourrures.
X descendit, sans oublier son téléphone, ni une demi-douzaine de photos de L, au cas où il rencontrerait quelqu’un qui pourrait le renseigner sur L. Dans les escaliers, il espéra un moment qu’il était en train de rêver ou qu’il avait été victime d’une hallucination. Mais, c’était bel et bien vrai, car lorsqu’il poussa la porte de son immeuble, il avait face à lui les enfants et les fumerolles. Tous les tons du noir au blanc, mélangés, sous les averses de la neige salie de l’incendie. Et ses pensées se tournèrent vers L. Il dût sortir une photo pour se rappeler son visage. Une boule de neige au goût de brûlé vint le tirer de sa rêverie en lui heurtant la figure. Suivi d’une salve plus fournie. Et bientôt d’un véritable déluge. Il courut s’abriter derrière les restes calcinés d’un camion de pompier dont le gyrophare produisait encore une faible lumière rouge, tandis que les enfants continuaient à tirer leurs boules si bien que X et les restes du camion furent bientôt entièrement recouverts d’une épaisse couche de neige. X crut que sa dernière heure était arrivée car il avait beau creuser sous l’avalanche, il lui semblait que jamais il n’atteignait la surface, et que le rythme soutenu des lancers des enfants l’ensevelissait irrémédiablement. Il finit donc par abandonner, tassant la neige autour de lui, afin de modeler une bulle d’air dont il était le centre. Puis il sortit les photos de L. et en tapissa les murs de son futur tombeau. L’obscurité crasseuse de la neige cendreuse l’empêchait de voir, mais comme il n’était pas certain de reconnaître le visage de L, l’absence de lumière lui convenait. Engourdi par le froid et alors qu’il lui semblait que, très loin au-dessus de son crâne, des enfants continuaient à sculpter sa gigantesque sépulture, il finit par s’endormir, avec en tête l’image d’une fine paire de lèvres bleues et froides s’exprimant avec douceur dans un dialecte inconnu, et qu’il reconnut être les lèvres de L.
Des bouffées de chaleur le réveillèrent, collant sur sa peau son t-shirt, débarrassé de ses couches de vêtements tandis qu’il sentait, incrédule et impie, sa bulle mortuaire brûler dans la fournaise de l’enfer. Il se signa sans répit en attendant que sa peau et ses cheveux se consument pour expier les péchés de toute sa vie. La neige dégoûtait sur son corps en gouttes bouillantes et de plus en plus chaudes, et le bruissement des feux diaboliques lui sourdait de plus en fort aux oreilles. Sa dernière pensée était pour les oreilles de L, car c’était le seul souvenir distinct qui lui restait d’elle.
Il était recroquevillé en attente de la sentence, lorsque le plafond de son cercueil de neige se dissipa dans un nuage de vapeur aussitôt suivi d’un courant d’air qui lui figea la sueur de tout son corps, soulagea ses brûlures et apaisa son âme tourmentée. Dans sa traîne tintèrent les cantiques du vent, et les chants espagnols, ainsi qu’un Te Deum baroque et une sirène plaintive. A la place de la paroi de neige, se trouvait la figure exaltée du curé de la veille. Celui qui lui avait prêté son registre. Un masque de soudeur relevé sur le crâne, et un chalumeau portatif en guise de missel.
« C’est Noël !», lança le saint-homme, levant les bras au ciel pour le remercier. Et il pouvait presque le toucher car le ciel était toujours aussi bas et aussi gris et déversait toujours ses torrents de neige avec la précision d’un métronome. X n’en revenait toujours pas et se pinçait, abruti, tandis que le curé exécutait des bourrées solitaires, dans sa soutane, et son chalumeau dans le dos parmi les décombres. « L’Apocalypse », clamait-il « l’Apocalypse ! ».
« Où sont les enfants ? », demanda X, tandis qu’il remettait son imper et fourrait les photos de L trempées dans sa poche intérieure. « Partis ! envolés avec tous les autres ! pour le Jugement ! », s’enthousiasma le curé, avant de partir d’un grand rire jovial. « Viens avec moi ! » Et il attrapa X par le bras l’entraînant à travers les charbons et la neige. Ils croisèrent le chef des pompiers de la veille, dont la moitié du visage était calciné, et qui était allongé comme une marionnette désarticulée, suppliant faiblement qu’on l’achève. X s’arrêta et lui demanda si il savait où se trouvait L, mais le pompier n’en savait pas plus que la veille, et en fut désolé ; il lui demanda à nouveau de l’achever. Cependant, convaincu par la démonstration du saint-homme au chalumeau, X pensait que c’était péché et le laissa donc face à ses responsabilités de créature divine.
Le prêtre emmena X jusqu’à l’emplacement de l’ancienne église, qui avait brûlé dans la nuit, et dont il ne restait plus que quelques murs effondrés. La lumière blafarde était si faible qu’elle ne passait même plus à travers les quelques vitraux que l’incendie avait épargnés. Ce tableau désolant ne semblait même pas affecter le curé qui insista pour qu’ils empruntassent la porte, réduite à deux colonnes sculptées de gargouilles et d’anges noircis par le feu. Inexplicablement, le confessionnal de bois était intact entre les pierres blanches à moitiés ensevelis dans la neige.
Au dessus d’eux, malgré l’absence de clocher et de cloche, le carillon sonnait toujours le Te Deum, avec foi, dans une persistance toute immatérielle. Le curé s’engouffra dans le confessionnal et ferma la porte derrière lui. « Attends-moi ici, j’en ai pour quelques minutes », dit-il à X et il disparut derrière le grillage de bois, chantant des psaumes sur l’air du vent.
X s’assit sur une pierre ronde et sortit les photos de L, attendant qu’un miracle se produise. Il était maintenant presque persuadé que l’enterrement de L avait déjà eu lieu mais un mince espoir lui disait de ne pas abandonner. Cependant, son L’église sans mur et sans toit offrait peu de résistance aux intempéries et le froid et la neige commencèrent à le saisir. Il tapa des mains pour se réchauffer, dégagea la neige qui s’était accumulé sur ses vêtements, et ses chaussons. Puis il attendit de nouveau un hypothétique retour du prêtre qu’il entendait toujours faiblement chanter depuis le confessionnal. A nouveau, la neige et le froid l’envahirent. A nouveau, il se dégourdit les mains et chassa la neige. Et ce petit manège dura un certain temps avant que X ne se décide à frapper à la porte du confessionnal. Le curé chantait toujours, mais ne répondait pas. X frappa plus fort, dit au curé qu’il avait froid, lequel continua de chanter. N’y tenant plus, X ouvrit la porte du confessionnal, avec pour projet de demander un peu de chaleur de la flamme du chalumeau, et préparant d’avance ses excuses d’avoir troublé ainsi l’oreille et la miséricorde de Dieu.
Mais le curé s’était volatilisé, et sa voix continuait pourtant de chanter dans la petite boîte vide, qui ne contenait plus que le chalumeau, posé sur le banc. X haussa les épaules et s’enferma dans le confessionnal avec la voix du curé, et attrapa le chalumeau pour se réchauffer. Il passa là un temps indéterminé à consumer la réserve de gaz du chalumeau jusqu’à la fin et, lorsqu’il sortit, il avait des suées et des bouffées de chaleur. Il n’avait plus de notion de l’heure, ni des jours, et son estomac gargouillait. Une vérification sur son portable lui indiqua que c’était le mardi 24 décembre à 13h02. Il jeta un œil au ciel, qui était toujours le même, et se dit que peut-être oui, le soleil était au zénith, mais il n’en avait à vrai dire aucune idée car il faisait bien sombre. Il se souvenait bien que le curé lui avait dit que c’était Noël avant de disparaître mais il ne se souvenait plus de la date exacte de Noël et il était donc incapable de dire précisément combien de temps il était resté à se réchauffer à la flamme du chalumeau. Il décida de rentrer chez lui avec prudence car il craignait de croiser la route des enfants qui avaient tenté de l’ensevelir sous la neige. Il pensa qu’il ne retrouverait jamais son chemin car les noms de rue avaient disparu, et on ne voyait pas à plus de dix mètres. Il allait abandonner, couvert de neige dans les rues que les chasse-neige avaient cessé de déblayer, seul dans la brume irréelle de la ville détruite, la faim lui tenaillant les entrailles, lorsque le téléphone sonna. Engourdi par la rigueur du temps, et vaguement angoissé, il jeta ses dernières forces pour répondre. A l’autre bout du fil, la boîte vocale de sa banque lui annonçait un léger découvert.
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| | | Alexander Hellwood
Nombre de messages : 2894 Age : 32 • ÂGE DU PERSO • : 21 ans • TOPICS ? • : Hmm, laisse moi réfléchir. Bien sur =D • PHRASE PERSO • : Chaque détail prend de la valeur quand plus rien n'a de sens. Date d'inscription : 18/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mar 11 Nov - 20:36 | |
| - Bryan C. Adams a écrit:
Mamour : Je t'aime aussi ! Tu sais pas pourquoi on est toujours ennemie ?! C'est parce que tu as une tete de singe
Ne recommence pas avec Ed... En plus la ennemi depuis toujours vu que tu viens de vegas... Mamour t'es chiant XD | |
| | | Bryan C. Adams Pornographic Rabbit.
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mar 11 Nov - 20:39 | |
| Non, mais moi j'dis ca, j'dis rien ... C'est pas de ma faute sur Ed a un nez de singe .. Et en plus que je suis fils de directeur de casino aussi ! XD Mais non mamour ... Je t'aimeeeeeuh !! XD | |
| | | Alexander Hellwood
Nombre de messages : 2894 Age : 32 • ÂGE DU PERSO • : 21 ans • TOPICS ? • : Hmm, laisse moi réfléchir. Bien sur =D • PHRASE PERSO • : Chaque détail prend de la valeur quand plus rien n'a de sens. Date d'inscription : 18/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mar 11 Nov - 20:58 | |
| M'en tape suis plus riche que toi et ca tu peux rien y faire Et Ed est parfait! Non mais oh... t'as intéret a m'aimer ^^ | |
| | | Nick J. Lowell
Nombre de messages : 1171 • ÂGE DU PERSO • : 19 ans et demi • TOPICS ? • : CLOSED • PHRASE PERSO • : L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile. Date d'inscription : 13/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mar 11 Nov - 21:01 | |
| Re-bienvenue. Hop hop les gens stop au flood là. C'est illégal ici vous le savez bien xD | |
| | | Caithlyn L Sawyer
Nombre de messages : 341 Age : 33 • ÂGE DU PERSO • : 20 ans • TOPICS ? • : Open_* • PHRASE PERSO • : Le silence est une arme. Date d'inscription : 03/07/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mar 11 Nov - 22:47 | |
| Pxtain l'exemple de RP O_O je me sens toute petite là ! | |
| | | Hailee Watson
Nombre de messages : 34 • ÂGE DU PERSO • : 21 ans • PHRASE PERSO • : I am what I am ! Date d'inscription : 20/10/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mar 11 Nov - 23:52 | |
| Re bienvenu alors | |
| | | Bryan C. Adams Pornographic Rabbit.
Nombre de messages : 188 Age : 34 • PHRASE PERSO • : "Pour savoir se venger, il faut savoir souffrir." Voltaire Date d'inscription : 26/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mer 12 Nov - 1:11 | |
| | |
| | | Ruthie A. Wilson
Nombre de messages : 3233 Age : 31 • ÂGE DU PERSO • : 19 ans... • TOPICS ? • : Si tu veut de moi envoie moi un Mp ^^ • PHRASE PERSO • : « Au revoir. Je t'aime. » Tel furent mes dernières pensées. Date d'inscription : 11/09/2007
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mer 12 Nov - 15:41 | |
| AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ADAM BRODY <3 <3 <3 <3 <3 <3 [ ... ] <3 <3 <3 <3 <3 Dave >< | |
| | | Bryan C. Adams Pornographic Rabbit.
Nombre de messages : 188 Age : 34 • PHRASE PERSO • : "Pour savoir se venger, il faut savoir souffrir." Voltaire Date d'inscription : 26/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mer 12 Nov - 18:59 | |
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| | | Eleonore E.Carrington
Nombre de messages : 866 Age : 32 • TOPICS ? • : If you want ! =) • PHRASE PERSO • : Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, la douceur qui fascine et le plaisir qui tue... Date d'inscription : 01/09/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mer 12 Nov - 19:18 | |
| Tiens, c'est drôle, j'ai comme une impression de déjà lu, pour ton exemple de rp ! =) Très joli, vraiment...
Et heu... Bienvenu, encore...! | |
| | | Nick J. Lowell
Nombre de messages : 1171 • ÂGE DU PERSO • : 19 ans et demi • TOPICS ? • : CLOSED • PHRASE PERSO • : L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile. Date d'inscription : 13/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mer 12 Nov - 19:24 | |
| Arrêtez avec vos exemples RP de la mort -_-' Comment se sentir ridicule en deux secondes, demandez donc à Bryan xD | |
| | | Bryan C. Adams Pornographic Rabbit.
Nombre de messages : 188 Age : 34 • PHRASE PERSO • : "Pour savoir se venger, il faut savoir souffrir." Voltaire Date d'inscription : 26/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mer 12 Nov - 19:35 | |
| Oh ! MAis tu sais comme j'aime me sentir superieur aux autres mon amour ?! xD | |
| | | Casey H. Matthews
Nombre de messages : 3401 Age : 31 • ÂGE DU PERSO • : 19 ans. • TOPICS ? • : Faites la queue, comme tout le monde, merci. • PHRASE PERSO • : Il n\\\'y a pas de hasard... il n\\\'y a que des rendez-vous qu\\\'on ne sait pas lire. Date d'inscription : 12/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Mer 19 Nov - 23:03 | |
| Bryan, quel magniiiifique prénom xD | |
| | | Bryan C. Adams Pornographic Rabbit.
Nombre de messages : 188 Age : 34 • PHRASE PERSO • : "Pour savoir se venger, il faut savoir souffrir." Voltaire Date d'inscription : 26/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Jeu 20 Nov - 20:29 | |
| J'ai vraimet la flemme de finir la fiche : C'est maladif ! | |
| | | Casey H. Matthews
Nombre de messages : 3401 Age : 31 • ÂGE DU PERSO • : 19 ans. • TOPICS ? • : Faites la queue, comme tout le monde, merci. • PHRASE PERSO • : Il n\\\'y a pas de hasard... il n\\\'y a que des rendez-vous qu\\\'on ne sait pas lire. Date d'inscription : 12/03/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Jeu 20 Nov - 21:16 | |
| Sa s'apelle de la Flemmengite aigu et sa se soigne par de bons coups de pieds aux fesses xD | |
| | | Ruthie A. Wilson
Nombre de messages : 3233 Age : 31 • ÂGE DU PERSO • : 19 ans... • TOPICS ? • : Si tu veut de moi envoie moi un Mp ^^ • PHRASE PERSO • : « Au revoir. Je t'aime. » Tel furent mes dernières pensées. Date d'inscription : 11/09/2007
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Jeu 20 Nov - 21:49 | |
| - Casey H. Matthews a écrit:
- Bryan, quel magniiiifique prénom xD
Idée de moiiiiiiiiii =D | |
| | | Caithlyn L Sawyer
Nombre de messages : 341 Age : 33 • ÂGE DU PERSO • : 20 ans • TOPICS ? • : Open_* • PHRASE PERSO • : Le silence est une arme. Date d'inscription : 03/07/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Jeu 27 Nov - 21:29 | |
| Il faudrait penser à finir ta fiche | |
| | | Eleonore E.Carrington
Nombre de messages : 866 Age : 32 • TOPICS ? • : If you want ! =) • PHRASE PERSO • : Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, la douceur qui fascine et le plaisir qui tue... Date d'inscription : 01/09/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Ven 28 Nov - 0:29 | |
| C'est vrai, Cathlyn, mais j'annonce qu'il y aura du retard : Bryan m'a expliqué qu'il a perdu tout son texte (quand je dis que les ordinateurs sont des idiots...^^'), et qu'il ne pourra pas le réécrire tout de suite, car il sera absent ce week-end...
Donc, délai accordé et légitime ! =) Voilà, voilà... | |
| | | Caithlyn L Sawyer
Nombre de messages : 341 Age : 33 • ÂGE DU PERSO • : 20 ans • TOPICS ? • : Open_* • PHRASE PERSO • : Le silence est une arme. Date d'inscription : 03/07/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Ven 28 Nov - 18:05 | |
| Maudit soit la technologie =) | |
| | | Emmy J.Dickers
Nombre de messages : 51 • ÂGE DU PERSO • : 18 ans • TOPICS ? • : Why not ? [demandes par MP si possible, merci] • PHRASE PERSO • : On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime [Musset] Date d'inscription : 25/06/2008
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams Ven 28 Nov - 18:23 | |
| Oh !! Mais j'ai hate qu'il ait fini, moi ! ^^' Pfff... Ces ordinateurs, je vous jure... | |
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| Sujet: Re: Bryan C. Adams | |
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| | | | Bryan C. Adams | |
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