Rage et dérapage [Eva]

Prudence traversa le cour qui menée au parking. Elle venait de partir viola ment de son cour de biologie. Une habitude ces temps-ci. Elle qui avait était si studieuse, si prévenante, elle était devenue une rebelle. Au fond, elle avait baissée les bras. Plus rien ne semblé l'intéressait. Elle n'écoutait plus rien, fuyait tout ce qui la dérengait, ou alors rentrée dans tout le monde. Prudence était méconnaissable depuis maintenant quelques mois. La vie était devenue un vrai poison pour elle ces derniers temps. Prudence accéléra le pas, rejetant tous ses ennuies sur les autres. Elle avait quitté le cour en claquant la porte, insultant presque son prof. Une élève avait tantée de la résonné, mais Prudence lui avait demandée de se la fermer. Une fille plutôt sympa d'ailleurs, quelqun qui aurait le mérite de réussir. Prudence essaya de se rappelée son nom. Plus rien ne lui venait, elle était encore trop énervée. Pourquoi avait il fallut que son prof lui parle des grosses a risque, pourquoi lui avait il demandé de répondre, a elle? Prudence ragea intérieurement. Tout était si compliquée ces temps ci.
Prudence venait d'atteindre les parking. L'air frais lui fit du bien, elle en profita pour respirer calmement, et se détendre. Elle s'en voulait de réagir ainsi, d'être devenue cette fille. D'être devenue une révoltée, une fille si différente. Elle savait que c'était sa faute tout ça, mais elle ne pouvait s'empêcher de pensée que Chris avait sa part de faute la dedans, sinon jamais elle n'aurait perdue le...Prudence refoula ses larmes, préférant donnée un grand coup dans la voiture la plus proche. Elle entendit des pas courir vers elle, a tout les coup c'était le prof ou pire le directeur qui venait réglé ça. Prudence s'apprêtait déjà a répliquer quand elle vit l'élève de tout a l'heure, son nom lui revenait maintenant, c'était Eva.

*La biologie. Matière aussi complexe qu'assommante. Et pourtant, Eva avait de nombreuses fois tenté de s'y intéresser davantage. Mais c'était plus fort qu'elle. Les matières scientifiques avaient sur elle un effet soporifique, quand bien même elle était douée. Rien à voir avec les langues ou la philo ! Elle excellait en anglais comme en français -évidemment, c'était facile pour elle étant donné qu'une partie de sa famille était française- et se passionnait même pour l'Histoire.
Enfin bref, imaginez la demoiselle, scalpel en main, penchée vers le reste de ce qui avait dû être un coeur d'une bestiole quelconque.
La fille à côté d'elle était censée l'aider à opérer, mais, comme d'habitude, Eva se débrouillait toute seule.
Alors qu'elle était entrain de se demander comment séparer l'oreillette droite du reste du coeur sans en faire de la charpie, une élève leva la main, et posa une question à la prof, à propos de la grossesse.
Eva se moquait éperduement de ce sujet -elle s'était juré intérieurement de ne jamais avoir d'enfant- et ne releva donc pas les yeux de son organe ensanglanté, jusqu'à ce que la prof se mette à discourir sur les complications qu'il pouvait y avoir, et demanda à tout le monde de l'écouter.
La jeune fille se rassit sur sa chaise, et regarda la prof, qui demandait l'attention de tout le monde.
Elle commença à expliquer d'une voix d'outre-tombe qu'une grossesse n'était pas un phénomène à prendre à la légère, qu'il y avait des risques, et qu'il fallait une prise de conscience importante, chez la plupart des jeunes gens d'aujourd'hui...

Eva était une personne très responsable, et ne voyait guère à quoi toutes ces explications risquaient de lui servir, mais écoutait tout de même les explications avec attention.
Tout se passait comme dans un cours normal de biologie -c'est à dire que certains somnolaient, d'autres jouaient avec leurs stylos, et quelques uns prenaient des notes- jusqu'au moment où la prof décida de questionner une élève.
Tout le monde baissa la tête, comme pour éviter de trop se faire remarquer.
La sentence tomba : "Mademoiselle Norris répondra avec plaisir à cette question, n'est-ce pas ?"
Voilà. La prof venait de désigner Prudence. Elle n'aurait pas pu plus mal tomber, et celle-ci se fâcha.
Tout se passa si vite qu'Eva ne put se rappeler ce qu'il arriva exactement. La prof était juste furieuse, et Prudence s'en alla en claquant la porte.
Eva aimait bien Prudence, et était désolée que cela ait fini ainsi. Du coup, elle ramassa ses affaires, et s'approcha du bureau, pour demander poliment à la prof si elle pouvait sortir.
La jeune fille avait le sérieux avantage d'être apprécié par tous ses professeurs, et n'eut donc aucun mal à obtenir la permission.

Elle sortit précipitemment du lycée, et arriva à reprérer Prudence, qui passait ses nerfs sur l'enjoliver d'une voiture du parking.
Elle alla vers elle à grands pas. Quand elle fut tout près, elle ne dit rien, pendant un moment, puis essaya de sourire doucement à Prudence, qui avait l'air très mal.*

- Puis-je faire quelque chose pour t'aider ? demanda-t-elle gentillement, au bout de quelques instants.

Prudence remarqua qu'elle avait fait une grosse griffure sur la voiture. Pourquoi fallait elle qu'elle s'énerve toujours de la sorte? Elle avait vraiment les nerfs a fleur de peau, mais comme je l'ai dit, c'était récent. Le cour l'avait fatiguée. Cette prof, cette vielle râleuse, elle la haïssait. Elle la maudissait de l'avoir intérogée, cette folle savait tout. Prudence en était certaine. Sa grossesse n'avait pas échappée au professeur malheureusement. Peu d'élèves n'étaient pas au courant non plus. Peu de temps avant elle affichait un petit ventre rebondie...Prudence se refusa a y repensée. Elle préféra insulter mentalement cette prof et son cour idiot. Prudence voulait devenir écrivain, alors a quoi pouvait bien lui servir la biologie? A strictement rien ! Mais ses notes avaient chutées de partout, son attention avait disparue en même temps que son bébé, ou que Chris...Il lui restait Thomas, son meilleur ami, c'était déjà ça. Prudence vit donc arrivée Eva auprés d'elle. Elle détourna le tête pour ne pas affichée sa rage, mais aprés tout elle avait tout vue, alors a quoi bon. Prudence fit mine de cherchée ses clefs de voiture, mais Eva lui posa une question. Prudence voulut l'as rembarrée, mais cette fille n'avait rien fait, elle voulait juste lui venir en aide. Prudence se tourna donc vers elle.

Si tu tient a te faire mal voir...si quelqun te voit parler a Prudence la dérangée, tu risque gros.

C'était idiot, mais Prudence n'avait rien trouvée d'autre a dire, a croire que seul les choses débiles et méchantes sortaient de sa bouche. Toutes ses émotions et ses sentiments se transformés en méchancetés. Tout le monde crié dans son dos " C'est vraiment devenue une garce celle-la". Oui, Prudence avait changée, mais elle gardée bon fond malgré tout. Elle était juste paumée, malheureuse. Elle avait perdue ses parents, ne voyait plus ses frères et sœurs, venait de rompre avec l'homme de sa vie et avait perdue son bébé. Prudence avait de quoi être une autre. Pourtant peu de personne l'avait comprit, hormis Thomas peut etre.

*Certes, toute la classe, pour ne pas dire tout le lycée, était au courant de la mésaventure de Prudence. Eva songea d'ailleurs que la prof avait été cruelle de l'interroger sur un sujet si délicat que celui de la grossesse.
Néanmoins, elle se dit que ce n'était pas en rembarrant tout le monde, ou en enrageant au moindre prétexte que Prudence allait réussir à redevenir la jeune fille plus... disons plus calme, qu'elle avait été. En son fort intérieur, Eva pensa que ce qu'il lui fallait était un personne qui aurait l'air de lui faire confiance, et de l'apprécier à sa juste valeur, sans se préoccuper des "on dit" et des ragots médisants qui circulaient à son sujet.

A la réponse un peu brusque de Prudence, la demoiselle ne s'offusqua guère. Mieux : elle sourit davantage.*

- Et si tu me laissais me faire ma propre opinion sur ton compte ?

*Certes, Eva avait un côté naïf et aveuglément gentil. Elle était prête à aider quiconque semblait en avoir besoin. Mais, ne vous y trompez pas : sous ses dehors affables et simples, Eva n'en reste pas moins très secrète, et ne donne pas son amitié très aisément.
Elle avait en fait l'air d'avoir toujours beaucoup d'amis, mais, quand on interrogeait ceux-ci, ils étaient dans leur ensemble tous incapables de décrire correctement et avec précision les goûts de la jeune fille.

En attendant, elle conservait son joli sourire, comme pour inciter Prudence à faire de même, mais savait pourtant bien que la tâche ne serait pas simple...*

Prudence ne comprit pas comment quelqun pouvait sourire a cette remarque. Elle même l'aurait mal pris, mais certainement pas avant. Elle reconnue même une partie de l'ancienne Prudence dans Eva. Cette fille n'était peut être pas au courant de tout ça, peut etre qu'elle se souciait guère des ragots. Sa pousse au respect, pensa Prudence. Elle avait tans pris dans la tête ces derniers temps que tout lui semblait noir, mais Eva apporter un petit espoir...Prudence remarqua que rien ne la poussait a venir la voir ou lui parlée, elle aurait très bien put la critiquer comme tout le monde. Mais non, elle semblait plus vouloir la sortir de ce mauvais pas. Prudence ne cherchait pas a tout démentir, elle avait baissée les bras, elle ne cherchait pas a crier sur les toits que c'était une fille bien, ou alors qu'elle avait de la malchance. Elle se contentait de réagir au quart de tour lorsque la situation se présentait. Ce n'était surement pas la bonne chose a faire, mais peu lui importait a présent.

A oui...alors dit moi...

Prudence se surprit a attendre sa réponse avec impatience. Elle avait totalement perdue confiance en elle, elle ne croyait plus en rien, et surtout plus aux relations humaines. Elle en avait tellement entendue a son sujet, que maintenant plus rien ne pourrait la blesser. Son allure déjà provocante et ses sauts d'humeur étaient connue de tout le campus maintenant. Prudence s'adossa a la voiture, regardant dans les yeux cette fille, plutôt audacieuse. Prudence n'avait plus vraiment d'ami maintenant. Elle avait envoyée balader tout le monde, rejetant sur eux ses erreurs et ses malheurs. Si cette Eva avait connue seulement connue l'ancienne Prudence...Prudence regretta de ne pas avoir fait sa connaissance plus tôt. Peut être qu'elle aurait l'une des seules a la soutenir plutôt que dans l'enfoncée.

*Eva ne l'avait pas pris mal, parce qu'elle savait bien que, sous le coup de l'énervement, on pouvait dire des choses idiotes, voire méchantes, que, pourtant, on ne pensait pas forcément.
Elle-même tentait toujours de modérer ses propos au maximum, lorsqu'elle étais fâchée, car elle savait que l'on pouvait dire des choses blessantes sans réfléchir.

De plus, l'intégration n'avait pas toujours été son fort, contrairement à ce que l'on pourrait croire aujourd'hui.
Plus jeune, elle avait également eu à endurer la solitude, puisqu'elle n'avait pas beaucoup d'amis. Cette période désagréable de sa vie était bel et bien révolue, mais elle se souvenait ce que cela faisait d'être plus ou moins rejeté. C'est pour cette simple raison qu'elle n'était pas du genre à trop écouter les mauvaises langues et leurs ragots venimeux, et préférait nettement apprendre à connaître ceux qui l'entouraient, avant de se faire une opinion à leur sujet.

Prudence la regardait à présent droit dans les yeux, avec une telle insistance que c'en était presque gênant.
La jeune fille s'appuya contre la voiture derrière elle, et croisa tranquillement les bras, prenant une attitude désinvolte, toujours un sourire au coin des lèvres.*

- Je crois, dit-elle doucement, qu'il y a de nombreux facteurs qui t'ont rendu malheureuse, ces derniers temps, et que cela ne t'aide pas à voir la vie d'un bon oeil. Mais je pense aussi que ce n'est pas en rejetant tout ceux qui t'entourent que tu pourras t'en sortir. Ce n'est pas seule que tu pourras supporter le poids de ta souffrance. Je voudrais juste que l'on discute, et peut-être que cela te fera du bien... Mais je ne veux te forcer à rien...

*Elle marqua une pause, et ajouta, d'un ton amusé :*

- Si tu ne veux pas me voir ici, je peux tout aussi bien retourner en cours de bio, et réduire tous les élèves en charpie, avec mon scalpel...

Prudence comprenait ce qu'était la solitude, elle comprenait aujourd'hui. Autrefois, elle avait pleins d'amis, des gens sympa avec qui elle passait ses journées. Mais peu de véritable amis, hormis Chris et Thomas, l'un était resté, l'autre était partit. Prudence connaissait maintenant la solitude, celle nous suit et nous fait pleurer, celle qui nous change et nous rend malheureux. Prudence avec la recul, pensait que c'était mieux pour elle que de se retrouvée seule, de faire le point. Mais être seule c'est une chose, être critiquée en est une autre. Prudence regarda Eva. Elle l'écouta patiament, songeant que peut être que cette fille n'était pas comme toute les autres. Elle savait qu'elle avait raison, mais elle savait aussi qu'elle n'avait jamais connut une pareille souffrance et que donc elle n'avait pas a lui dire certaines choses. Seulement Prudence, même si elle ne l'avouerait jamais, avait besoin d'oreille compatissante a son malheur.

J'ai déjà discutée, mais a quoi bon, personne ne semble comprendre ce que c'est d'avoir perdue un bébé, ce que c'est de se retrouvée trahis, humiliée et trompée par un homme qu'on aime...

Prudence se surprit a dire tans de chose, elle leva même les yeux au ciel, pour elle uniquement. Elle ne voulait pas étalée sa vie, de toute façon tout la savait. Mais voila que les choses étaient gachés, et rin ne servait de se justifiée. Prudence fit un semblant de sourire a sa remarque. Aprés tout, elle pouvait peut etre lui parlée, et si elle n'était pas de confiance, sa en serait une parmis tans d'autre.

Sa me plairait bien comme idée...

Guy de Maupassant a dit : "Notre grand tourment dans l'existence vient de ce que nous sommes éternellement seuls, et tous nos efforts, tous nos actes ne tendent qu'à fuir cette solitude."

La solitude est toujours peusante, même si certains affirment le contraire.
Le simple fait de n'avoir aucun soutien moral venant d'ailleurs que de nous-même est démotivant, brisant, destructeur. Si, à chaque instant de notre vie on est invariablement seul, à quoi bon continuer d'avancer ? On a la seule satisfaction d'arriver à son but -si tant est que l'on peut y arriver sans personne- et, une fois que l'on y est, avec qui partager sa joie d'avoir réussi ?
Eva avait très vite compris que l'on ne peut être heureux en solitaire, et que se complaire dans la solitude n'est que faiblesse et passivité.

Elle sourit à Prudence, comme pour l'encourager à parler.
Elle avait "besoin d'oreille compatissante à son malheur" ? Cela tombait bien : Eva était on ne peu plus encline à écouter les souffrances des autres, et à essayer de les consoler... Lorsqu'il s'agissait de parler de ses propres peines, c'était une autre histoire, bien sûr, mais Prudence devait de toute évidence être bien trop malheureuse pour questionner la jeune fille en retour sur ses chagrins. C'était donc parfait, et Eva put commencer à faire ce pour quoi elle était douée : se taire, et écouter.
Elle s'était souvent dit que c'était en partie pour cela qu'elle était si brillante en cours. Elle ne prenait presque jamai la parole, mais écoutait avec tant d'attention que, si on l'interrogeait, elle avait toujours des choses intéressantes à dire.

- Il n'y a pas beaucoup de personnes qui ont le malheur de comprendre ce qu'est la perte d'une être cher, répondit-elle posément, mais les trahisons et les humiliations sont comprises par bien des gens, crois-moi...

Par chance, elle n'était jamais tombée enceinte -pas même après ce déplaisant épisode d'une nuit avec Ethan- et donc ne pouvait comprendre la jeune fille à ce niveau.
Mais avait-elle besoin de la comprendre pour l'écouter et essayer de la réconforter ? Non, absolument pas.
Parler ferait sans doute du bien à Prudence, mais jamais elle ne la forcerait à lui dire quoique ce soit.
Néanmoins, quant elle vit son sourire, elle eut l'impression que ses efforts ne seraient pas vains, avec elle.

- Nous verrons cela toute à l'heure, dans ce cas... Mes instincts sanguinaires me passent comme ils me viennent !

Elle lui sourit, avant de jeter un coup d'oeil à sa montre. Le cours de biologie s'achèverai d'ici vingt minutes.
Ensuite, elle avait une heure à passer, puisqu'elle n'avait pas cours. Ainsi, si Prudence voulait parler, elles avaient tout leur temps.
La jeune fille joua rêveusement avec une mèche de ses cheveux, en attendant que Prudence se confie, ou qu'elle ne se confie pas et parle de toute autre chose, après tout, cela n'avait pas grande importance.
Le principal était qu'Eva lui servirait d'exutoire...

hj : je suis navrée de ce retard on ne peut plus considérable, mais j'étais en panne d'inspiration, et puis je suis partie en vacances... Enfin bref, je suis désolée...

Prudence baissa la tête, comme si le goudron de la cour avait la réponse a toutes ces questions. Elle leva enfin son regard déjà moins brutal face a son interlocutrice. Cette fille voulait l'aider et Prudence se montrait encore une fois méchante. Mais la confiance n'était plus d'actualité dans la vie de Prudence. C'était un mot étranger. La seule personne ne qui elle avait véritablement confiance était Thomas, son meilleur ami. Seul lui pouvait la remettre d'aplomb, seul lui avait les mots qui réconfortent. Prudence manquait d'oreille attentif, de personne a qui confiait ses malheurs. Mais voulait elle vraiment les confiaient? Ne voulait elle pas plutôt de les oublier, de les jeter et ne faire comme si tout ça était un cauchemard?

Elle savait au fond d'elle que c'était impossible. La perte de son bébé avait d'abord été une chose qui l'avait effondrée, elle ne voulait pas le croire, elle voulait que tout sa soit une simple méprise. Puis elle c'était fait a l'idée de devenir maman, elle avait réalisée qu'elle pourrait s'en sortir. Mais cet enfant arrivé au mauvais moment. Chris et elle s'embrouillaient souvent, et leur vie en collocation n'arrangeait pas les choses. Finalement Chris ne voulait pas entendre parler de son enfant et Prudence fit une fausse couche. Elle voulait le retenir, mais la tristesse l'avait accablée. Elle avait perdue son bébé et l'homme de sa vie, Prudence était inconsolable, et aucun mot ne pourrait la remettre en état.

C'est possible, mais je crois que j'ai la palme a BluSide...

Et c'était vrais. Elle et Thomas étaient trainés dans la boue depuis maintenant plus de 6 mois. Ils se serraient les coudes, se moquant bien des regard et tout ce qu'on pouvaient dire derrière derrière leurs dos.

Si je suivait sanguinaire, la moitié du bahut seraient mort a cette heure la !

HJ: Pas grave, moi aussie je suis partit un mois en vacance xD